Photos anciennes et photographies d'époque en noir et blanc et leur histoire.
Page précédente - - les mots-clef les plus recherchés - - les nouveautés - - toutes les catégories
|
Santu Mofokeng né en 1956 à Johannesburg en Afrique du est un photographe, Santu Mofokeng débute en tant que photographe de rue dans les années 1970, en réalisant des portraits de sa famille et de ses amis à Soweto.
Voir |
En 1988 il est chercheur à l'Institut d'études sociales de l'Université du Witwatersrand à Johannesburg.
En 1981, il est engagé par le journal Beeld comme assistant au laboratoire photo1. L’année suivante il travaille pour les journaux de la Chambre des Mines.
En 1985, il rejoint « Afrapix », un collectif de photographes fondé en 1982, par un petit groupe multi-racial de photographes et de militants. Parallèlement, il commence à faire des reportages pour New Nation, un journal alternatif dirigé par Zwelakhe Sisulu (et Gabu Tgwana, qui remplaça Sisulu pendant sa détention), et à développer un projet intitulé Fictional Biography.
En 1986, Santu Mofokeng se lance dans son premier essai photographique : Train Church, une exploration des rituels religieux.
En 1988, il rejoint l’African Studies Institute (ASI), il a alors la fonction de chercheur2 et de photographe pendant presque 10 ans. Il réalise à ce moment-là : Rumours / The Bloemhof Portfolio, un essai photographique.
En 1990, Santu Mofokeng est récompensé pour son exposition à la Johannesburg Market Galleries, Like Shifting Sand, qui montre la vie dans les fermes et le quotidien des communautés. Il reçoit la première bourse Ernest Cole3, qui lui permet d’étudier un an au Centre international de la photographie (ICP) de New York.
En 1996, Santu Mofokeng entame son essai photographique intitulé Chasing Shadows4.
Lors de la seconde Biennale de Johannesburg en 1997, il présente un diaporama : The Black Photo Album / Look: 1890–1950, Distorting Mirror: Townships Imagined
Page précédente
Accueil,
les mots-clef les plus recherchés,
les nouveautés, et
toutes les catégories
|